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Thérapeute analyste qualifiée depuis 25 ans, je travaille aujourd’hui en tant que thérapeute en ligne et dans mon cabinet de psychothérapie sur Chartres. Avant ça, j’ai été formée à l’institut des communications humaines (ICH) à Paris pendant 5 ans. J’ai alors appris les fondements de la psychologie, de la psychanalyse et de la psychopathologie, ainsi que leurs applications à la psychothérapie individuelle et de groupe à travers la relation d’aide.
Ma formation de juriste initiale, domaine dans lequel j’ai travaillé pendant une dizaine d’années, m’a permis de développer le goût de l’analyse et du détail pour soutenir une argumentation. Mais également et surtout, cela m’a permis de me familiariser au monde du travail dans le secteur privé, puis dans le secteur public où j’ai longuement œuvré, et pu observer les rouages et participer en tant qu’acteur à diverses situations du monde professionnel.
Puis, des événements de ma vie m’ont amenée à une réorientation vers la relation d’aide, domaine général qui m’avait toujours passionnée, mais où un certain vécu me semblait indispensable. Après un long travail sur moi effectué avec l’aide d’une thérapeute, corollaire indispensable de cette formation, je me suis sentie libérée du poids de mon passé et mieux à même d’écouter l’autre avec plus d’empathie et compréhension. En effet, j’ai abordé les écueils de la rupture du couple et ses différentes phases de perte de confiance en l’autre (en cas de trahison, notamment), en soi… J’ai dû comprendre ces excès tels que la jalousie, le désir de vengeance… En comprenant ces différentes phases, en les reliant souvent à des failles d’enfance, j’ai pu accepter, comprendre, puis me reconstruire peu à peu. Ensuite est arrivée insidieusement la maladie de certains de mes proches (cancer, AVC, maladie d’Alzheimer). Il a fallu accepter la fatalité, soutenir le malade se dégradant peu à peu, la détresse des proches voire leur état dépressif, et même comprendre le personnel hospitalier dans ses soins ou certaines de ses attitudes face à la maladie. Puis est arrivé le deuil et son cortège d’interrogations : comment accepter l’inéluctable, accepter la perte de ce qu’on aime et se relever après un deuil ?
Étant née et ayant vécu à Madagascar,
j’ai toujours été attirée par l’étranger et par la suite, je me suis mise à voyager beaucoup, notamment en Inde, en Afrique, en Amérique latine…. Durant mes voyages, j’ai eu la chance de partager le quotidien de mes hôtes un certain temps. Cette manière de voyager en allant à la rencontre de l’autre m’a permis de l’accepter dans sa différence et de gommer progressivement le jugement. Pourquoi manger comme cela et à quoi ce rituel sert-il? Pourquoi ceci et pas cela ?… J’ai dû ouvrir mon esprit et enrichir ma connaissance.
Je résumerai mon expérience de vie et ses différentes étapes parfois problématiques, simplement : les affres de l’adolescence (sa rébellion, sa quête de sens…), la construction d’une vie d’adulte avec ses avatars (usure du couple et aussi comment l’éviter), le processus de rupture, les enfants et leurs difficultés, les ados et leurs questions, puis l’âge à accepter à travers la dégradation lente mais inéluctable du physique et le ralentissement au quotidien, la peur de la mort…
Les affres de l’adolescence
(sa rébellion, sa quête de sens…)
La construction d’une vie d’adulte
avec ses avatars (usure du couple
et aussi comment l’éviter)
Le processus de rupture
Les enfants et leurs difficultés
L’âge à accepter avec
sa dégradation
La peur de la mort
Que dire d’autre ? Que je n’ai pas tout vu et que le reste est à venir…Mais toutes ces expériences m’ont permis de m’enrichir et de personnaliser ma méthode de travail afin de vous accompagner vers votre épanouissement personnel à travers un processus de transformation que ce soit dans le cadre de mon activité de thérapeute en ligne ou au cabinet. Certains d’entre vous se reconnaîtront peut-être à travers mon parcours de vie, et je pourrais en conséquence leur apporter un éclairage, voire un réconfort.
En effet, j’ai pu accompagner, le plus souvent des femmes, dans leur parcours de rupture et de reconstruction après ce que certaines ont pu qualifier « de destruction totale ». Au cours de nos échanges, certaines d’entre elles ont pu prendre conscience d’un sentiment d’infériorité, voire d’une manipulation face à la trahison, l’infidélité parfois. J’ai également eu affaire à des adolescents en perte de repères, et dont la quête de sens à donner à leur vie, après un départ souvent difficile, restait à définir. J’ai aussi accompagné quelques aidants proches de grands malades physiques ou psychiques (cancer, dépression…) et ai été amenée à suivre ces parcours de vie dont « les à-coups » sont trop souvent négligés.
